Nantes

: le réveil de la « belle endormie »

« Peut-être la seule ville de France où j’ai l’impression que peut m’arriver quelque chose qui en vaut la peine ». C’est ainsi qu’André Breton parlait de Nantes en 1928. Patrie de Jules Verne et du réalisateur Jacques Demy, Nantes est la toile de fond de ses films Lola et Une chambre en ville, il aura tout de même fallu attendre la fin du 20ème siècle pour que la capitale de la Région Pays de la Loire s’affranchisse de son image de « belle endormie ». Le déclic ? Il s’est fait par le biais de la culture. Depuis les années 1990, avec l’arrivée de la compagnie de théâtre Royal de luxe , la métamorphose des anciennes usines LU en Lieu Unique, sans oublier la réhabilitation de l’Ile de Nantes en « quartier de la création », la ville s’est réveillée. Ouverte aux talents, aux idées, aux audaces. Le tout à 2 heures de TGV de Paris. Une ville peuplée d’étudiants. Rien que l’Ile de Nantes s’apprête à recevoir quelque 5 000 jeunes sur un campus qui réunira bientôt l’école des Beaux-Arts, celle d’Architecture et une partie de celle de Design. A la fois ville d’histoire, le secteur médiéval du Bouffay est là pour le rappeler, et cité contemporaine, le palais de justice en verre et acier est signé Jean Nouvel : Nantes joue les ambivalentes. « Ni tout à fait terrienne, ni tout à fait maritime, ni chair ni poisson, juste ce qu’il faut pour faire une sirène ». Julien Gracq avait vu juste en décrivant Nantes de la sorte.

Vivre à Nantes

Préfecture de Loire Atlantique, Nantes compte 290 000 Habitants. 6e agglomération de France, elle est le chef lieu de 11 cantons. Elément central de la communauté urbaine Nantes Métropolole, elle regroupe 24 communes peuplées de 590 000 habitants. Lorsqu’elle est associée à l’agglomération de Saint Nazaire, elle constitue la métropole du « Grand Ouest Français ». A proximité de rivage de l’océan Atlantique, elle recouvre 6 600 hectares dont plus de 1100 hectares d’espaces verts et jardins.

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Se déplacer à Nantes

 

Avec un centre ville de plus en plus piétonnier, la voiture n’est pas le meilleur moyen pour circuler dans Nantes. Mais qu’à cela ne tienne, le réseau de transports en commun est conséquent : tramway, bus et busway permettent de sillonner la ville dans tous les sens,et à toutes les heures : il existe, en effet, des bus de nuit. Quant au tramway, il circule jusqu’à 0h30 en semaine et 2h30 le samedi.
Ajoutons à cela le Bicloo : pas moins de 880 vélos sont en libre-service 24 heures sur 24 dans une centaine de stations disséminées à travers Nantes.
Enfin, Navibus propose deux lignes sur l’eau. Une première sur la Loire, qui relie la gare maritime à Trentemoult. Une seconde pour traverser l’Erdre au niveau des facultés. Une autre façon de se déplacer et de découvrir la ville.

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Découvrir Nantes

 

 

 

Ville culturelle, dynamique et stimulée par sa communauté étudiante, Nantes propose des événements, rendez-vous, rencontres tout au long de l’année. Trois domaines sont plus particulièrement développés : le cinéma, le théâtre et la musique.

Côté 7ème art, en marge des salles de grandes exclusivités (Gaumont, UGC…), « la » curiosité nantaise s’appelle Le Katorza. Ce cinéma, classé art et essai, propose une sélection fine et pertinente de films d’auteurs. On aime aussi l’« absurde séance » et ses séries B, à l’affiche tous les 15 jours, les débats organisés régulièrement, sans oublier les « goûters de l’écran », séances destinées aux enfants. Quant à la librairie du ciné, elle fait référence à Nantes.
Sur les planches aussi, ça bouge. A Nantes, à chaque théâtre, son style. Parmi les principales scènes de la ville, citons le Grand T, théâtre de Loire-Atlantique, qui mêle classiques et créations contemporaines. Le théâtre Beaulieu, pour sa part, mise sur l’humour et le rire. Même scénario pour le Théâtre de Jeanne, qui s’adresse également aux enfants. Quant au théâtre Graslin, situé sur la place éponyme, il propose des spectacles pour mélomanes et amateurs d’opéra, dans une salle à l’italienne du 19ème. Un théâtre détourné en opéra, car Nantes aime la musique.
Toutes les musiques. En marge de la fameuse Folle Journée, dédiée au classique, chaque année en janvier, des concerts gratuits proposés à la Fnac aux bars du centre ville ouverts aux musiciens, en passant par le Lieu Unique, Nantes a l’oreille musicale. A titre d’exemple, l’Univers, rue Jean-Jacques Rousseau, se transforme en piano-bar chaque mardi soir. Le Pannonica, rue Basse-Porte, organise des concerts de jazz dans son sous-sol. Le Ferrailleur, au Hangar à bananes sur l’Ile de Nantes, est l’un des spots de prédilection des amateurs de rock. Tout comme le Floride, institution des nuits nantaises, rue Saint-Dominique. Quant aux DJ, musiciens, rockeurs, rappeurs, français ou étrangers… tous passent par la scène du Lieu Unique, à deux pas de la gare, le temps d’un concert, d’un happening, d’une performance.

Les musées fourmillent à Nantes. Et les expos s’enchaînent. Les petits comme les plus grands ont, en effet, de quoi s’instruire et rêver au Muséum d’Histoire naturelle, notamment. On pénètre dans cette bâtisse du 19ème par la place de la Monnaie. Ici, plus de 1 000 spécimens de vertébrés sont exposés. On change de siècle, de culture, de civilisation. Un voyage dans le temps ponctué par l’étonnant squelette d’un rorqual de 18 mètres de long, capturé près de Saint-Nazaire en 1991.
Autre escale, autre atmosphère au Musée de l’imprimerie. Avec des mots simples, pour captiver les enfants comme leurs parents, les guides passent en revue et expliquent tous les rouages de l’imprimerie. Mieux encore : des démonstrations permettent d’activer toutes les machines, de voir le plomb couler et chacun est invité à tirer sur la presse à bras.Une drôle de séance de musculation !
Quant au Musée Jules Verne, il se situe à 500 mètres à peine de la maison où l’écrivain, alors enfant, venait passer ses vacances. Ici, on a réuni livres, objets, illustrations… tout raconte la vie et le parcours de l’auteur de Vingt mille lieues sous les mers : passionnant. A ne pas manquer non plus : le Musée des Beaux Arts. On y va pour la sublime verrière et l’impressionnante collection de peintures du 12ème siècle jusqu’à nos jours. En 2014, à l’issue de la vague de travaux, le musée comptera 2 500 m2 supplémentaires.
Enfin, impossible de zapper le Château des ducs de Bretagne : en marge de la visite du château, cour et douves sont des lieux de balades et de détente très prisés des Nantais. Aux beaux jours, certains n’hésitent pas à déplier leur nappe à carreaux pour pique-niquer. Quand d’autres se font bronzer dans l’herbe. Pour une vue originale sur la ville et sur le château, n’hésitez pas à grimper sur le chemin de ronde.

Janvier :
La Folle journée / www.follejournee.fr Pendant 5 jours, la Folle journée réunit quelque 1 800 musiciens pour près de 300 concerts de musique classique. A la Cité des congrès de Nantes et en région. Au regard de son succès, la Folle journée s’exporte désormais à Bilbao, Varsovie ou encore Tokyo.
Février :
Battles / www.hipopsession.com Durant deux semaines, la culture hip-hop s’installe à Nantes. Sous toutes ses formes : danse, concerts, graffs, rencontres…
Mars-avril :
Festival du cinéma espagnol / www.cinespagnol-nantes.com Le cinéma espagnol est à l’honneur pendant deux semaines. Une soixantaine de films inédits sont présentés : de la fiction au documentaire, en passant par le court métrage. Carnaval de Nantes : Fin mars, et durant une semaine, trois défilés costumés sont organisés dans les rues de la ville : un diurne, un nocturne et un troisième dédié aux enfants.
Mai-juin :
Printemps des arts / www.printempsdesarts.fr Depuis 1984, ce festival de musique baroque et classique se déroule à Nantes et dans les Pays de la Loire.
Juillet-août :
Soleils bleus / www.onyx-culturel.org Festival de jazz alternatif chaque année impaire à Saint-Herblain. Au programme : concerts de jazz rock, hip hop jazz, jazz funk, jazz électro… Des musiques du monde à (re)découvrir. Aux heures d’été / www.auxheuresete.com Une multitude d’animations estivales (concerts, cinéma en plein air, contes…) dans différents lieux et jardins de la ville.
Septembre :
Rendez-vous sur l’Erdre / www.rendezvouserdre.com Chaque premier week-end de septembre, les Nantais sont invités à naviguer sur l’Erdre, au fil de nombreux concerts de jazz. Scopitone / www.scopitone.org Rendez-vous des cultures électroniques et des arts numériques que année à la mi-septembre. Et ce durant 5 jours.
Octobre :
Foire à la brocante et aux antiquités : pendant 3 jours, 200 exposants sont réunis place Viarme.
Novembre :
Utopiales / www.utopiales.org Nantes accueille le Festival international de science-fiction à la Cité des congrès. Au menu : cinéma, littérature, rencontres, débats… Festival des Trois Continents /www.3continents.com Pendant une semaine, coup de zoom sur les cinémas d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine. Fictions et documentaires sont au programme. Culture Bars Bars / www.bars-bars.com Durant trois jours, fin novembre, de nombreux café nantais s’ouvrent aux slam, DJ, théâtre, poésie, musique…
Décembre :
Tissé Métisse / www.tisse-metisse.org Pendant toute une journée, le réseau associatif nantais propose spectacles, échanges et rencontres avec le grand public.

Se faire plaisir à Nantes

 

 

 

Faire du shopping dans les rues de Nantes, c’est prendre son temps dans les quartiers piétonniers du centre ville, flâner dans le passage Pommeraye, oser, essayer, bref se laisser tenter.
Si vous passez rue Crébillon, « faire du shopping » se dit « crébillonner ». Et pour cause : cette célèbre artère et ses rues voisines (Boileau, Scribe, Contrescarpe…) réunissent toutes les grandes enseignes de la mode. Enseignes auxquelles s’ajoutent de nombreuses boutiques de créateurs. Idéal pour refaire ou parfaire son vestiaire, revoir sa déco, trouver le cadeau idéal.
Dans le Passage Pommeraye, tout proche, tous les styles se mélangent : de L’Occitane à Nature et Découvertes, en passant par La Chaise longue, Pylones ou encore Hermès.
A découvrir aussi Les P’tits papiers, place Félix Fournier. Papier de soie, de crépon, mâché ou recyclé, ici il y en a pour tous les goûts et toutes les envies. On craque pour le chic des carnets, cartes, livres de naissance… Une micro boutique de laquelle les fans d’écriture ne repartiront pas les mains vides.
Quant à Milk, rue de la Paix, c’est le QG des pros de la glisse. Cette boutique décline l’univers du skate-board à grand renfort de séries limitées. Pièces uniques. Raretés. Vêtements, baskets, gadgets… rien ne ressemble au « déjà vu ailleurs ». Et puis, côté souliers, il faut pousser la porte de Pied d’poule, rue de Bel Air : un drôle de nom pour une boutique atypique. Et pour cause : ici, on vend des créations faites à la main, pour les femmes, signées Julie Pillet. Même scénario côté hommes, avec des chaussures que l’on doit à l’artisan Laurent Bourquin.

Nantes regorge également d’adresses gourmandes : on ne quitte pas la ville sans être passé chez le pâtissier-chocolatier Vincent Guerlais, rue Franklin. Sa spécialité ? Les macarons. Autre adresse de référence : la fromagerie Beillevaire, rue Contrescarpe. On y va pour le beurre, le fromage, mais aussi le petit pot de riz au lait à l’ancienne ou la crème onctueuse au café. Quant à La Friande, rue Paul Bellamy, ses coffrets gourmands inspirés par le Petit Beurre LU feront plaisir à coup sûr.
Enfin, à l’issue d’un après-midi de shopping, il fait bon s’étendre et se détendre dans le hammam situé au sous-sol du Lieu Unique. Pour un bain oriental dans la plus pure tradition. Ou encore de s’offrir un soin au spa de l’hôtel Radisson Blu, place Aristide Briand. Voire de changer de tête à La Salle de bains : ce salon de coiffure, en étage, compte de nombreux doigts de fée pour couper, soigner, coiffer, lisser les cheveux. Le tout sur un fauteuil massant.

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Sortir à Nantes

 

 

 

Il n’y a pas que le Petit Beurre LU à Nantes. Le gâteau nantais –à base de sucre, amandes, beurre et rhum des Antilles- a aussi ses adeptes. Quant aux vins de Loire, dont le muscadet fait partie, ils sont à l’ardoise de tous les bistrots et restos de la ville. Ajoutons à cela que la région Pays de la Loire est la première pour les signes officiels de qualité (AOC, label rouge...) et la deuxième pour le bio. Conséquence : on mange bien à Nantes ! Et même très bien.
A commencer par la table de Jean-Yves Guého, L’Atlantide, quai Ernest Renaud. Le chef étoilé prépare à la perfection le Saint-Pierre, le filet de turbot ou encore la chair d’araignée. La mer l’inspire. Normal : il est natif du Morbihan. Quant à son établissement, perché au dernier étage d’un immeuble, il offre une vue imprenable sur l’Ile de Nantes.
La ville regorge également de jeunes talents. A l’image de Christophe François, aux fourneaux des Chants d’avril, rue Laënnec. Passé par de grandes maisons parisiennes, il a créé une ambiance bistrot dans une ancienne épicerie des années 1950. Sa carte est soignée, avec la part belle aux produits de saisons et de la région. Même souci d’authenticité chez Lulu Rouget, rue du Cheval Blanc. Ici, c’est le nantais Ludovic Pouzelgues qui officie en cuisine. Passé chez Jean-Yves Guého et Michel Troisgros, ses plats sont raffinés et pertinents. Il aime travailler les produits de l’Atlantique, tels que les maquereaux de La Turballe ou le cabillaud de Saint-Guénolé. Un vrai bonheur pour les papilles.
Quant à Nicolas Guiet, ancien second du chef Eric Guérin, c’est l’étoile montante à Nantes. Dans son resto, baptisé L’U.Ni,pour l’univers de Nicolas, végétal, légumes et herbes sont à l’honneur. Sans oublier les produits de la mer en provenance de La Turballe, du Croisic ou encore de l’Ile d’Yeu. Savoureux.
Côté institutions, on ne peut pas éviter La Cigale, place Graslin : il faut au moins aller y prendre un café ou un chocolat chaud. Brasserie à l’ancienne, son intérieur est classé. Les habitués vantent volontiers les 6 variétés d’huîtres ou encore la « Muscadothèque » de la maison. Le petit-déjeuner est également un moment privilégié, avec la presse du matin à disposition et quelques figures nantaises qui se retrouvent pour commenter l’actualité, faire et refaire le monde.
Tout aussi incontournables : les crêperies. On n’est pas dans la ville des ducs de Bretagne par hasard ! Cidres et galettes ont la cote auprès des Nantais. Et parmi les adresses intéressantes, citons volontiers la Crêperie Heb Ken, rue de Guérande : ici, crêpes et galettes se marient à la charcuterie, aux fromages, aux produits de la mer, aux douceurs sucrées… La crêpe de froment au chocolat « maison » est divine.
Quant aux adresses originales, elles ne manquent pas : citons Le P’tit qu’a fait et La Pasta. Le premier, rue des Olivettes, se définit comme « un troquet ludique et familial ». La déco est inspirée par la récup’, des goûters d’enfants ont lieu le mercredi, des bouquins sont à emprunter et la cuisine bio a du goût. Quant au second, situé rue Saint-Léonard, on y va pour les pâtes fraiches, le tiramisu et l’ambiance folle de ce resto qui sent bon l’Italie dans sa version la plus originale qui soit. Ici, on change de pays, sans bagage ni passeport. Un voyage immobile, mais gourmand.
Enfin, prenez de la hauteur le temps d’un verre ou d’un café au 32e étage de la tour Bretagne, dans un espace baptisé Le Nid. Imaginé par l’artiste nantais Jean Jullien, ce perchoir joue double jeu : terrasse, avec vue panoramique sur la ville –nous sommes à 135 mètres de hauteur-, et bar conçu tel le refuge d’un oiseau à mi-chemin entre la cigogne et le héron. Tables et fauteuils sont inspirés par l’œuf dur : étonnant. Bluffant même.

Flaner à Nantes

Nantes a ses jardins secrets. Des espaces où, au moindre rayon de soleil, il fait bon se promener, décompresser, rompre avec le rythme de la ville. Première étape : le Jardin des plantes. Situé en face de la gare et peuplé de magnolias, il s’étend jusqu’au prestigieux lycée Clémenceau. On y croise le buste de Jules Verne, quelques animaux de la ferme, des serres luxuriantes, de sublimes parterres, des enfants qui jouent sur la « plage verte » perchée sur les hauteurs du jardin. Sans oublier le salon de thé qui domine nature et verdure : s’y rafraichir aux beaux jours, avant de reprendre son train, est un vrai plaisir.
Quant au Jardin de la Psalette, voisin de la cathédrale, son logis à tourelle accueillait autrefois l’école de chant des enfants de chœur. Une jolie halte pour se poser, se reposer. Autre escale, au bord de l’eau cette fois : le Mémorial de l’abolition de l’esclavage. Bâti sur le quai de la Fosse, à l’endroit même où les navires négriers quittaient Nantes pour l’Afrique, il s’articule autour d’une vaste esplanade piétonne, sur laquelle sont incrustées 2 000 plaques relatives aux expéditions négrières recensées au départ de Nantes. Un ouvrage imaginé par un duo d’Américains : l’artiste Krzysztof Wodiczko -concepteur du pavillon polonais de la Biennale de Venise 2009- et l’architecte Julian Bonder.
Quant à l’Ile de Nantes, il faut s’y balader pour ses cafés le long de la Loire et ses étranges « Machines », structures mécaniques monumentales réalisées par François Delarozière et Pierre Orefice : les enfants sont fascinés, les parents sont conquis. Osez aussi le quartier des Olivettes. Ici, on se croirait dans un village d’un autre siècle. Avec des maisons partout, des jardins privés et une pléiade de cours et passages. Un monde à part à quelques minutes du centre ville, de la gare et de l’effervescence culturelle du Lieu Unique.
Pas de séjour à Nantes sans passer par Trentemoult. On y accède en Navibus, que l’on prend à la gare maritime. En quelques minutes, on se retrouve dans un village digne d’un bord de mer : un palmier ici, une passiflore là-bas, des courettes, des ruelles, une terrasse, un port de plaisance… ici, on est ailleurs. Déjà un peu en vacances.
Avec les enfants, le parc Acrocime de Carquefou propose des parcours ludiques et insolites au milieu des arbres. Même ambiance joyeuse et familiale au Parc de la Sèvre, à Vertou : on y fête les cerises, les vendanges, on pêche et les enfants disposent d’une aire de jeux. Quant à la vallée de Clisson, elle se situe au cœur du vignoble de Nantes. Une terre nourrie par la Sèvre et la Maine, deux rivières qui donnent au Muscadet son caractère à part. Avis aux gourmets et gourmands : visites de caves et dégustations sont possibles.

Envie d’aller plus loin ? Echappez-vous sur la côte, car Nantes n’est qu’à une heure de route de La Baule, Le Pouliguen, Guérande ou encore Le Croisic. En été, on s’y baigne à marée haute. Hors-saison, on se balade sur la plage, dans les marais salants. A tout moment, on se régale des crêpes et galettes de chez Derwin, à Batz-sur-mer : avec vue sur la mer et les rochers de la côte sauvage. L’idéal : relier Nantes à La Baule en train (environ 1 heure de trajet) et louer un vélo sur place. Enfin, les amateurs de virées à bicyclette se laisseront tenter par La Loire à vélo : cet itinéraire cyclable de 800 kilomètres permet de longer le plus long fleuve de France, de Cuffy, dans le Cher, à Saint-Brévin-les-pins, en face de Saint-Nazaire. Il passe, entre autre, par Saumur, Angers et Nantes.

Villes autour de Nantes

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